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Jeudi 12 février 4 12 /02 /Fév 20:38

 

-- Je m'excuse de te déranger, me dit-elle. Je dois aller passer des examens au laboratoire, et comme mon mari a dû aller voir sa mère, je voulais savoir si tu pouvais me garder Patrick. Je ne peux l'amener au laboratoire.


-- Ça ne vas pas t'embêter, s'inquiéta la voisine. Mais je n'en ai que pour une demi-heure tout au plus.


Et c'est ainsi que je me retrouvais promu « nounou » d'un garçonnet de huit ans, aussi gêné que moi de se trouver là. Songeant qu'il fallait à tout prix lui trouver une occupation, je songeais que comme tout garçon de son âge, Patrick trouverait le temps moins long si je lui mettais un jeu sur l'ordinateur situé dans une pièce voisine transformée en bureau.


-- Tu veux jouer sur l'ordinateur ? Lui demandais-je, certain qu'il n'allait sûrement pas refuser pareille offre.


-- Oh oui ! S'exclama le gamin, retrouvant soudain son sourire.


Rassuré sur la suite de l'attente, j'installais donc le garçon devant l'ordinateur, lui chargeais un jeu et afin de le surveiller, je restais prés de lui, à lire une revue informatique. Ainsi le temps passa plus vite pour nous deux. Patrick malmenait le joystick afin d'abattre le maximum d'Aliens et ne souciait ni de moi, ni de tout ce qui pouvait se passer en dehors de sa « guerre des étoiles ». C'est au milieu des exclamations du garçonnet, mêlées aux bruits des tirs Lasers, que je devinais la sonnerie de la porte d'entrée. Posant ma revue, je m'empressais d'aller ouvrir à la mère de mon tueur de monstres.


-- Ça y est, me voilà, me sourit-elle… quelque peu essoufflée. Je me suis dépêchée, j'espère que Patrick ne vous a pas trop embêté.


-- Nullement, lui rétorquais-je, le regard attiré par sa forte poitrine qui se gonflait au rythme de sa respiration. Il s'éclate devant l'ordinateur. Venez voir !


La précédant, je la conduisis jusqu'au bureau où Patrick continuait à se battre férocement contre les envahisseurs.


-- Patrick, je suis revenue. Viens, il faut rentrer maintenant, lança-t-elle à son fils.


-- Oh non ! Pas tout de suite protesta le garçonnet en se démenant sur son fauteuil.


-- Vous avez bien 2 minutes, lançais-je à son intention… qui s'étant approché de son fils se tenait derrière son fauteuil et regardait curieuse ce qui se passait sur l'écran du moniteur.


D'où je me trouvais… placé au milieu de la pièce… je la voyais de dos et immédiatement mon regard vint se poser sur la partie de son anatomie qui me faisait tant fantasmer… la blouse légère qui la vêtait se tendait sur sa croupe, énorme, volumineuse, et ce spectacle m'affolait au plus haut point... J'essayais de deviner à quoi pouvait ressembler ce magnifique derrière une fois dénudé…



Autant ma femme possédait un corps mince, souple, menu, presque un corps d'adolescente, autant je me trouvais attiré par celui… charnu et abondant de ma voisine… Sa poitrine qui m'avait l'air plus qu'opulente… contrastait énormément avec les petits seins menus de ma conjointe… Penchée sur le dossier du siège sur laquelle son fils se démenait, celle-ci prise par le jeu se mit à encourager son rejeton, l'aidant de la voix à combattre les méchants dragons :


-- Attention ! Là, à droite, à droite. Attention en voilà encore un ! Là !


Stimulée par la bataille auquel se livrait son fils, elle se démenait abondamment, m'offrant sans le savoir l'affolante vision de son merveilleux et sensuel derrière remuant en tous sens… la gorge soudain nouée par ce spectacle d'une rare lascivité… j'éprouvais le désir sournois d'empoigner ces hanches plantureuses… qui ondulaient d'une manière terriblement suggestive à quelques centimètres de moi... Cherchant à me contenir… je sentais graduellement le désir s’emparer de moi…


Le ballet bouleversant devant mes yeux de cette croupe tant désirée finit par me faire rejeter toute prudence… M'approchant derrière elle… j'osais refermer avec émoi mes deux mains autour de ses hanches rebondies… percevant aussitôt sous le léger tissu de sa blouse, la fermeté et la robustesse de ses seins... Alors que je m'attendais inquiet à ce qu’elle me repousse, scandalisée par mon audace, j'éprouvais un intense plaisir en constatant que cette dernière… non seulement ne tentait pas de se soustraire à mon attouchement hardi, mais qu'au contraire elle l'acceptait en s'immobilisant soudainement… la croupe tendue en arrière, comme dans l'attente d'un contact plus précis de ma part... elle semblait m’ouvrir la porte pour que j’aille plus loin…


Epoustouflé par la docilité avec laquelle elle avait accepté mon étreinte… je pressais fiévreusement mes doigts dans la chair ferme de ses hanches, éprouvant un indicible plaisir à sentir ce corps s'offrir ainsi à mes attouchements…  Mais à pétrir ainsi fiévreusement l'objet de mes fantasmes ne tarda pas à faire naître une formidable érection au bas de mon ventre. Ma virilité se gonfla inexorablement en doublant de volume, déformant le devant de mon pantalon… elle devait sentir sur ses fesses… le gonflement de mon membre…


Le désir me prit de lui révéler l'état dans lequel son corps me provoquait... pour cela je m'avançais légèrement afin de coller mon bas-ventre ou se dessinait en un relief important ma verge fièrement bandée… contre ses fesses... remuant doucement des hanches… je frottais vicieusement l'énorme bosse que faisait mon membre dilaté contre son derrière… cherchant à le faire coulisser dans la raie des fesses que je devinais au toucher…


S'appuyant au dossier du fauteuil sur lequel Patrick était installé, la tête derrière la sienne, formant ainsi un écran de son corps aux regards curieux qu'aurait pu jeter le garçonnet… elle se retroussa… releva le bassin… cherchant le contact avec mon bas-ventre… Rassuré alors sur cette forme d'acquiescement de sa part… je resserrai mes mains sur ses hanches, crochetant mes doigts dans ses chairs… les pressant et les malaxant avec une ivresse sensuelle.... Sachant que nous serions tranquilles pendant environ deux heures… le temps pour ma femme de se faire coiffer, je pris tout mon temps pour m'enivrer de ces hanches rebondies qui oscillaient sensuellement sous mes doigts… je les tripotais à pleines mains, tout en frottant avec volupté ma verge gonflée contre la forme de ses fesses…


À frotter sa large croupe contre mon bas-ventre, elle ne pouvait ignorer la force de mon désir naissant… grandissant… A un moment elle tourna la tête vers moi et avec un sourire complice elle glissa vicieusement sa main droite entre nos deux corps accolés… Sans avoir à chercher… elle trouva immédiatement ma virilité… tant celle-ci gonflait le devant de mon pantalon déformé… Dans un long frisson de volupté… je sentis ses doigts se refermer sur l'énorme protubérance qui déformait ma braguette… pour la presser avec autant de fièvre que j'en mettais de mon coté à lui pétrir les hanches… Malgré l'épaisseur du tissu de mon pantalon… cette femme fiévreuse de désir… entreprit de me branler furieusement à l'aide de ses doigts refermés en pince autour de ma verge gonflée…




Alors un étrange dialogue s'instaura entre la femme et son fils.


-- Oh le gros là ! S'exclama-t-elle à l'intention de Patrick en lui désignant un monstre sur l'écran du moniteur, alors que sa main pressait plus fortement ma virilité, comme pour en apprécier le volume.

Qu'est-ce qu'il est gros !


Sous la sensuelle masturbation que ma perverse voisine me dispensait… je sentis une bouffée de désir m'envahir… une furieuse envie de sentir sa main féminine se refermer et coulisser le long de mon membre viril tendu me saisit… Oubliant alors toute prudence, mais me sachant à peu près tranquille pour encore une heure et demie… je m'empressais de faire glisser le zip de la fermeture éclair de ma braguette… comprenant à mes mouvements à quelle activité je me livrais… elle cessa sa caresse afin de me laisser œuvrer à ma guise...





Mais dès que l'ouverture fut pratiquée dans mon pantalon.. elle se dépêcha d'y introduire la main, repoussant sans ménagement les tissus qui freinaient son exploration... D'un geste vif elle plongea ses doigts dans mon slip qu'elle baissa… libérant l'objet de sa convoitise… qu'elle entreprit de branler d'une main douce et experte… Ivre de luxure, je tendis mon bas-ventre à la femme qui avait empoigné mon dard vibrant et qui me masturbait avec une douceur extrême… venait tournoyer à chaque mouvement autour de mon gland engorgé… les deux mains crochetées dans ses fesses qui continuaient à se mouvoir en un ballet terriblement lascif… je m'abandonnais avec plaisir à la sensuelle caresse dont j'étais l'objet... le doux frôlement des doigts le long de ma colonne de chair me procurait une indicible béatitude, tout en m'excitant follement… à en perdre la tête…


Mais le désir de contempler cette croupe qui me faisait fantasmer depuis le tout début… m'envahit avec force. Saisissant alors la blouse qui me cachait ce vaste derrière féminin auquel je rêvais sans cesse, je la retroussais largement, jusqu'à la hauteur de la taille… Sans arrêter les souples mouvements de sa main le long de ma verge dressée… elle se cambra toute, tendant son postérieur dans ma direction, m'offrant l'affolante vision de sa croupe généreuse… Accoudée au dossier du fauteuil sur lequel son fils se démenait, le visage accolé à celui du garçonnet, ma voisine avait pris une position qui empêchait ce dernier de voir ce qui se passait derrière lui si l'idée lui en était venue.


Je demeurais saisi d'ébahissement devant cette scène… tellement inimaginable… à laquelle j'avais tant rêvé… Incapable de maîtriser le désir qui m'avait envahi, je saisis l'élastique du ravissant slip fleuri et le tirais vers le bas… dénudant avec ivresse le merveilleux postérieur de ma sensuelle voisine… Certainement aussi excitée que moi, celle-ci me laissa la déculotter… m'aidant même à faire glisser sa lingerie le long de sa croupe en remuant doucement ses hanches…



Le merveilleux derrière qu’elle avait… ainsi que sa raie… m'apparut alors dans toute sa splendeur… fendu en son milieu par une longue fosse profonde, mystérieuse et combien troublante... Tombant à genoux face à cette peau que je convoitais depuis le début… je crochetais mes doigts dans les fesses fermes et les écartais légèrement l'une de l'autre avec une émotion d'adolescent… laissant découvrir sa rosette brunâtre... Ivre de luxure, je collais ma bouche à son orifice que j’entrepris de lécher sur son pourtour… avec sensualité...



Je m'imaginais la femme, penché sur son fils et faisant d'énormes efforts afin de ne pas dévoiler le plaisir qu'elle éprouvait… Je l'entendis conseiller son fils d'une voix sourde.


-- Oui, c'est bien mon chéri. Continue encore comme ça !


Les recommandations qu'elle administrait à son rejeton étaient surtout des encouragements à mon endroit… et pur les sensations qu’elle souhaitait… Lui maintenant les fesses largement ouvertes, je vrillais ma langue dans son cul frétillant… léchant les contours sensibles…



Me régalant de voir devant mes yeux la chair rose frémir doucement sous mon baiser pervers… puis abandonnant cet orifice… je glissais insidieusement ma bouche en direction de son sexe…


Grisé par les effluves odoriférants qui s'élevaient de la chatte aux lèvres écarlates, j'enfonçais ma langue entre les longues babines sexuelles… l'enfonçant avec extase à l'intérieur des chairs gorgées d'un jus chaud et au goût âcre…. longuement je léchais les sucs qui émanaient des profondeurs de son vagin en fusion… m'enivrant de ce nectar fortement parfumé… Sous mes coups de langue qui lui fouillaient profondément la vulve, elle se mit à agiter follement sa croupe… frottant furieusement sa fente ruisselante contre mon visage… m'engluant le nez et le menton de ses sécrétions vaginales...



Vu l'abondance des liqueurs amoureuses qui m'aspergeaient le bas du visage, je jugeais que ma complice avait atteint un degré d'excitation maximum et qu'il était temps pour moi d'assumer enfin mes fantasmes… J'allais enfin pouvoir m'enfoncer par derrière dans ce corps tellement sensuel, afin de m'enivrer à la vue de cette croupe gigantesque que j'avais tant convoitée, tout en fouillant de mon membre viril ce vagin liquéfié…


Abandonnant alors la chatte dégoulinante, je me redressais pour me placer face à l'énorme derrière qui continuait à s'agiter d'avant en arrière, dans un mouvement de coït terriblement érotique… saisissant ma verge de la main droite...

Je la dirigeais entre ses cuisses, plaçant mon gland gonflé entre ses grandes lèvres gorgées de désir…





-- Oui chéri, lança soudain Michèle à son fils. Défonce-le ! ... N'ait pas peur. Tu peux y aller.


Comprenant en fait que ces encouragements m'étaient destinés… je lançais mon bas-ventre en avant… faisant pénétrer ma verge gonflée dans sa vulve accueillante… J'eus l'impression de m'enfoncer dans un brasier, tant elle était chaude.


-- Voilà, c'est bien, continua-t-elle… en s'adressant toujours à son fils. Continue maintenant. Ne t'arrête pas.


Puisqu'elle le demandait, j'aurais eu tord de ne pas exaucer ses désirs…. Crochetant mes doigts dans la chair ferme de ses hanches… le regard fixé sur sa magnifique croupe qui se tendait désespérément vers moi… j'imprimais un mouvement de va-et-vient à mon bas-ventre, faisant ainsi coulisser avec volupté la totalité de mon membre viril dans la chatte de ma complice…




Malgré la grosseur de ma queue, qui sans être d'une taille phénoménale possédait quand même une dimension raisonnable, je me trouvais au large dans ce corridor charnel juteux et malgré l'intense désir qui m'habitait, le plaisir fut long à se propager de mon bas-ventre à ma virilité… Recherchant désespérément l'orgasme qui viendrait me libérer momentanément de mes fantasmes… je me démenais comme un fou contre les fesses tendues, les claquant sauvagement de mon ventre, faisant coulisser avec rage ma verge tendue dans la vulve transformée en véritable marais… de sa liqueur… elle mouillait terriblement, sa chatte investie ruisselait littéralement… comme si soudain un barrage tapi au fond de son vagin avait cédé et déversait son trop plein de liquide organique en un flot torride…


-- Oui, c'est bon, lança-t-elle à l'oreille de son fils, toujours passionné par sa destruction d'Aliens. Continue encore !


Cependant, petit à petit, je sentis le plaisir monter le long de mon membre viril qui s'agitait dans une humidité tropicale… Fixant ses belles fesses qui avait pris une couleur rosée sous les coups répétés que mon ventre lui assénait… je m'acharnais à pistonner le vagin accueillant d'où s'élevait un bruit de clapotis terriblement excitant… Une fois le processus lancé, tout se passa alors rapidement… une onde voluptueuse, vertigineuse, incontrôlable me submergea, me tétanisant de la tête aux pieds… Dans la chatte maintenant grandement ouverte… ma verge augmenta encore de volume avant d'exploser dans un véritable feu d'artifice...

Les doigts furieusement plantés dans les hanches de ma sensuelle partenaire, je me mordais les lèvres pour ne pas laisser échapper le grognement de plaisir que je sentais prêt à jaillir de ma gorge… Tressautant par spasmes réguliers… ma verge cracha sa semence au plus secret du vagin dilaté, lâchant de longues salves de sperme, telle une mitrailleuse tirant ses coups lors d'un combat…




Je ne sais combien de temps je restais ainsi, prostré dans les entrailles de ma volcanique voisine... Ce furent les cris de triomphe de Patrick, qui venait lui aussi d'atteindre la victoire finale qui me tirèrent de mon extase… Délicatement je retirais ma verge quelque peu ramollie de sa vulve débordante du fruit de notre jouissance… puis apercevant la culotte aux fleurs roses de ma complice à nos pieds… je la ramassais afin d'essuyer les taches blanchâtres qui couvraient mon membre sur toute sa longueur....



Comme je réintroduisais ma verge ramollie dans mon slip, elle abandonna sa position penchée en avant, sa blouse retomba, me cachant son fessier généreux et terriblement sensuel.


-- Allez Patrick, maintenant que tu as terminé, il faut y aller, papa ne va tarder à rentrer et tu vas l'entendre rouspéter si le dîner n'est pas prêt.


Tout heureux d'avoir détruit tous les Aliens, le garçon sauta de son siège et se dirigea vers la porte. S'assurant que son fils ne pouvait ni nous voir, ni nous entendre, ma voisine s'approcha de moi pour plaquer ses lèvres aux miennes dans un baiser rapide et furtif… tandis que sa main droite empoignait mon membre à travers mon pantalon.


-- Quel pied j'ai pris, me souffla-t-elle. Il y a longtemps que je ne m'étais envoyée en l'air de cette manière...


Saisissant ma nouvelle amante par la taille je la raccompagnais jusqu'à la porte en lui caressant sensuellement les fesses.


-- Oh ma culotte ! S'exclama-t-elle soudain affolée.

Je lui tendis sa lingerie intime que j'avais gardée à la main. S'en saisissant, elle la rangea dans une des poches de sa blouse.


-- Il n'y aurait pas fallut que ta femme tombe dessus !


Sur un dernier rapide baiser donné en cachette de son fils, elle me demanda :


-- On recommencera ? J'aimerais remettre ça, plus tranquillement. Tu veux ?


-- Quand tu voudras, acquiesçais-je ravi.


-- Tant mieux. Maintenant je vais me nettoyer, j'en ai plein les cuisses. Qu'est-ce que tu m'as mis, tu en avais une sacré réserve ! Tu décharges toujours autant ?


-- Toujours, lui confirmais-je. Je te le prouverai quand tu voudras.


Celle-ci, accompagnée de son fils regagnèrent leur appartement, me laissant seul avec ma braguette déboutonnée...

Ce n'est que partie remise...

Par LoveurBoy - Publié dans : Nouvelles Érotiques
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Jeudi 12 février 4 12 /02 /Fév 18:38

 

Je vais vous raconter une histoire, et plus précisément celle qui m'a fait découvrir l'adultère. Je tiens à préciser, que jamais mon mari ne s'est douté de quoi que ce soit... même aujourd'hui ! Il me croit toujours une femme fidèle !!! S’il savait !!!


Cet été là, mon mari et moi sommes partis rejoindre certains amis pour quelques jours de vacances. Les parents d'une copine nous avaient laissé un immense terrain pour y planter nos tentes !


Pour la soirée, je m'étais habillée d'un petit short court et j'avais mis un t-shirt sans soutien-gorge ! Le soir, on était tous autour du feu, à chanter, à boire, bref à bien s'amuser ! Vers trois heures du mat, tout le monde partait se coucher dont mon mari qui avait un mal de crâne ! Je restai quant à moi près du feu seule avec Tyron, que je voyais pour la première fois... on a discuté de choses et d'autres.


Puis vers 3h30, j'ai commencé à avoir froid... certainement la fatigue, mais je ne voulais pas aller me coucher ! Tyron s'est alors levé et a ramené son duvet et moi je suis allée chercher le mien et par la même occasion, je me suis assurée que mon mari dormait bien !

Je retournai vers lui qui me proposa d'attacher nos deux duvets ensemble. Ensuite, on s'est emmitouflé dans le duvet, près du feu... j'étais allongée sur le côté et lui tout contre moi avait sa main sur ma cuisse et je sentais son souffle sur ma nuque ! Ça me faisait tout drôle, car c'était la première fois que j'étais couchée avec un autre homme que mon mari...


De  sa main toute chaude, il me caressait délicatement la cuisse, et c'était vraiment une sensation très très agréable... mon cœur battait de plus en plus fort et j'avais très envie qu’il aille plus loin, mais je n'osais pas, ou je ne savais pas comment lui montrer ! Je restais encore toute timide... puis, n'en pouvant plus, je me suis retournée, je me suis mise sur le dos et on s'est regardé, tous les deux, en se faisant un petit sourire...

Je sentais que ma petite culotte était toute mouillée… Il continuait à me caresser les jambes, puis il passa entre mes cuisses pour remonter ensuite sur mon short ! Il le déboutonna, puis fit descendre la fermeture éclair, puis très lentement il baissa mon short le long de mes jambes... je sentais ses mains chaudes sur mes cuisses, mon entrecuisse et remonter jusqu'à ma petite culotte... j'étais de plus en plus excitée, et je mouillais aussi de plus en plus !


Je ne me rappelle pas avoir autant mouillé avec mon mari... Il me retira ensuite mon t-shirt... ça y est ! Je suis les seins nus devant lui...



Et ça m'excite terriblement qu'il puisse les voir… Mes tétons sont tout durs. Pendant qu’il me les embrasse, j'essaye péniblement de déboutonner son pantalon… Dans le duvet ce n'est pas très pratique, mais enfin j'y arrive avec son aide...

Tyron finit de retirer son pantalon, et il n'est plus qu'en caleçon...



À mon tour je le fais s'allonger sur le dos... je n'ai plus qu'une envie, c'est de voir son sexe !!! Je déboutonne maladroitement son caleçon, et le voilà enfin qui m'apparaît, dressé comme un i, et impressionnant par sa taille !



D'ailleurs je ne peux pas m'empêcher de m'extasier devant son sexe, en faisant un "Waaouu"...


Quant à lui il me retire, enfin, ma petite culotte qui est vraiment trempée…



Et enfonce dans ma petite chatte humide, un, puis deux doigts et avec un autre m'excite l'anus...



Je pousse quelques petits gémissements, en faisant attention de ne pas faire trop de bruit… car la tente où se trouve mon mari n'est vraiment pas loin !!! Mais c'est difficile, car il me procure énormément de plaisir... et j'ai déjà eu un premier orgasme !


Puis il change de côté et se met en position de 69... Je suis alors prise de panique, car je n'ai jamais fait de fellation à mon mari... Les fellations que je refusais de faire jusqu’à présent à mon mari, voilà que je m'apprêtais à les faire à ce gars... et en plus j'en avais très envie… tout ce que j'espérais c'était être à la hauteur !!!

Au début, je lui ai léché le gland délicatement… puis très vite… je me suis libérée en prenant son sexe à pleine bouche...



Et le pire, c'est que j'aimais ça !!! Pendant ce temps lui me broutait le minou délicieusement bien...

Je sentais sa langue aller profondément dans mon petit trou alors que ses doigts titillaient mon clito... un régal ! on était tellement excités tous les deux…



Qu'on ne se rendait pas compte que nos gémissements devenaient plus forts...

Puis j'ai senti que Tyron allait jouir… alors j'ai mis son sexe entre mes seins puis il a fait quelques va et vient...



Et il a fini par éjaculer sur ma poitrine et mon cou... J'avais plein de sperme sur moi…



C'était quelque chose de nouveau pour moi, mais j'aimais cette sensation de chaud !!!


Je m'essuyais les seins avec ma petite culotte et après quelques minutes de repos, lui et moi reprenions nos débats... Très vite ce dernier rebanda, il était de nouveau très excité… tout comme moi d'ailleurs ! Je décidais de prendre tous les risques, en ouvrant entièrement la fermeture éclair du duvet... C'était plus facile pour faire l'amour...

J'étais sur le dos et Tyron commença par vouloir me pénétrer…

Ma chatte était toute chaude et fiévreuse… il décida de m’empaler tout doucement… mais dès qu'il m'eut pénétrée en coulissant son sexe sur toute sa longueur en moi… je vous assure, ce fut le pied absolu... Jamais je n'avais ressenti autant de jouissance à chaque va et vient...



On a fait l'amour jusqu'à 6h00 du matin... Cette nuit-là, j'ai réalisé à quel point, je n'étais pas épanouie sexuellement avec mon mari… Tyron m'a vraiment donné envie de faire certaines choses, que jamais je n'aurais pu faire avec mon mari...


Ce n'était que ma deuxième expérience sexuelle et celui-ci m'a fait jouiiiiiiiir et m'a donné du plaisir comme jamais !!!


Lorsque j'ai rejoint mon mari sous la tente, il dormait profondément... et ne s'était rendu compte de rien ! Je me couchai à côté de lui, ma chatte encore remplie du sperme de Tyron et qui coulait légèrement sur mes cuisses...


Je repensais encore et encore à cette nuit torride, si bien que je n'en trouvais pas le sommeil, je sentais encore sur mes seins, l'odeur de son sperme, et je mouillais encore...


Quelle nuit magnifique !

Par LoveurBoy - Publié dans : Ta confession
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Jeudi 12 février 4 12 /02 /Fév 01:11


Au hasard d’un échange sur MSN, j'ai rencontré virtuellement un homme. Il se décrit comme doux, tendre, affectueux. Mais aussi câlin, coquin et joueur.

Câline, coquine et joueuse je le suis aussi... Et c'est tant mieux!

Il a un fantasme qui n'est pas forcément le mien… mais bon, autant essayer ce que je n'ai jamais fait.

Lundi matin, 10h00. Mon téléphone retentit. Je suis encore dans mon lit. Je suis fatiguée en ce moment, et ce portable qui sonne m'irrite au plus haut point… je finis par décrocher et aboie un "allo" pas très avenant.

Une voix douce et sensuelle me répond.
-Bonjour mon ange, as-tu bien dormi.
-Je ne sais pas qui vous êtes, passez votre chemin. Je ne suis pas de bon poil ce matin.

Mais cette voix me captive au plus haut point... Je reconnais enfin mon interlocuteur au bout de quelques secondes… c’est bien cet homme qui croyais-je aurait la frousse de me téléphoner…


Il me dit combien ma galerie de photos le ravit, il les regarde en ce moment, je sais qu'il est dans son bureau. Sa voix devient de plus en plus chaude tandis qu'il me complimente. Je m'étire comme un chat.

Il entreprend de me raconter notre rencontre future, comment il me voit habillée, comment je serai en train de me comporter, le restaurant où nous irions, ce que nous mangerions. Et la suite...

Il me raconte comment il me ferait l'amour, ce qu'il m'infligerait comme douce torture... mon souffle se fait plus court, mes seins pointent dans ma nuisette en satin... mon string devient humide.

Mes doigts parcourent la courbe de mes seins... descendent vers mon ventre et insouciante se dirigent dans le string. Mon clito tout dur ne demande que des caresses... je commence à me toucher doucement.



Je décide de lui dire… Que je suis en train de me caresser au son de sa voix et de ses fantasmes… que j'ai envie de son sexe dans le mien… je sors le vibro de ma table de chevet, le met en route et lui fait écouter le bruit des vibrations... Il émet un petit gémissement… Je lui demande d'imaginer que ce vibro de taille honorable est son sexe… Je lui raconte tout dans les moindres détails…



La façon dont je me titille le clito en faisant de petits mouvements circulaires… Comment ma main libre caresse mes seins, leur texture, leur dureté, la couleur du mamelon et de l'aréole….



Je sens que le premier orgasme va me chavirer... je lui crie dans un souffle "mon dieu que c'est bon, continue, oui...." j'ai trempé le drap tellement j'ai joui comme une garce…

Il émet un petit rire et d'une voix rauque me glisse : "oui tu es vraiment une agace… et je vais te prendre de suite"

Soudain il glisse le téléphone devant son pantalon… je l'entends défaire les boutons de son jean puis baisser son boxer... Il me dit qu'il est dur pour moi… et pour ce que je viens de lui faire en jouissant à ses oreilles… et qu'il a envie de me la mettre bien profond… Il me demande d'imaginer le vibro à la place de son sexe… Il me guide et me dirige tandis qu'il se masturbe frénétiquement…



Sa voix est toujours aussi chaude et agréable à mon oreille…

Il me demande de me mettre sur le dos et de me pénétrer très doucement, des petits va et vient très agréables, j'adore... Puis je dois aller de plus en plus vite, que c'est bon, mon dieu...

Je suis toujours ses instructions… je retire le vibro trempé, l'éteins et dois le mettre dans ma bouche et le lécher comme si c'était son sexe… Je sens le goût de mon intimité contre ma langue et c'est excitant. Je me positionne en levrette afin de me pénétrer une nouvelle fois mais cette fois ci sa voix se fait plus insistante… Je dois me pénétrer en imaginant son sexe qui se faufile entre mes jambes… J'imagine alors qu'il est derrière moi, qu'il me pénètre, me laboure et me défonce…



Le téléphone est posé sur l'oreiller ma bouche devant le micro... Je gémis je gémis encore et encore, dans un moment du lucidité, je mets le haut parleur...

Il ne dit plus rien, il gémit aussi à son tour...

J'entends le rythme de sa main sur son sexe, un rythme très rapide. Je sens qu'il va venir... Et moi aussi.

Je dois continuer à me labourer de la sorte mais en glissant un doigt sur mon clito encore tout enflé. Il veut que je jouisse comme jamais, je vais lui en donner de la jouissance. Mon rythme est de plus en plus frénétique, ses paroles deviennent très descriptives… j’imagine la scène… et j'en redemande. Continue, continue, baise moi... encore plus fort.



Je jouiiiiiiiiiis comme jamais, les hurlements de plaisir ont remplacé les petits gémissements du début.

Un long silence.

Où veux-tu jouir, dis moi?
Il me répond de venir jouir sur mes seins... Il sélectionne une photo de ma galerie… Mes mots le guident à son tour.

Je prends ton sexe dans ma main… donne des petits coups de langue sur ton gland bien rose et encore tout humide… Ma bouche s'ouvre petit à petit pour y mettre ton sexe bien dur… hummmmmmm… qu'il est bon, je te regarde dans les yeux…



Tu es debout devant moi… Je me relève un peu, mes seins frôlent ton membre… Je te fais allonger sur mon lit…

Mes seins viennent emprisonner ton sexe, ta queue... je te masturbe entre mes seins qui sont de plus en plus durs... Dès que le gland ressort je lui donne un coup de langue...



Je vais de plus en plus vite… je me sers de ton gland pour caresser mes tétons et mes aréoles... Je te masturbe encore entre mes seins… Tes yeux se révulsent je sens la sève monter…

Que c'est bon continue, je vais jouiiiiiiiiiir, je vais éjaculer sur tes seins… Tu as bien raison, viens jouir sur mes seins, ils ne demandent que cela… j'entends ta main accélérer encore le rythme.

Un râle rauque sort de sa gorge, il a jouis... un orgasme violent… son sexe tressaute tout en le coulissant... et ce sperme qui se répand par giclée…



Nous sommes pantelants, nous ne savons pas quoi nous dire...
Se dire Merci? Se dire c'était bon?

Par LoveurBoy - Publié dans : Ta confession
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Jeudi 12 février 4 12 /02 /Fév 01:02

A lire certains articles, on pourrait penser que les hommes, en général, ne peuvent avoir qu’un seul orgasme. Cela n’a pas été mon cas, et ce depuis ma plus petite enfance. Voilà ce dont je me souviens :

 

Les plaisirs de l’onanisme remontent dans mon souvenir à mon enfance, bien avant de pouvoir « juter » comme les grands. Debout ou allongé dans mon lit, le soir, je me donnais de, longues séances de masturbation, attendant avec impatience le jour où de mon pénis tendu jaillira la semence virile.

 

Puis, un jour, tout changea. Je devais avoir 13 ans quand enfin un peu de semence perla au bout de mon gland violacé...


J’étais aux anges. J’étais enfin devenu un homme ! Petit à petit, progressivement, les quantités de sperme éjaculées augmentaient, prenaient de la consistance. Mon plaisir également augmentait sans cesse. Il faut dire qu’à la maison, il y avait plusieurs livres traitant de la sexualité, de la masturbation, que ce soit masculine ou féminine. Il y avait même de nombreux croquis qui illustraient les positions à adopter, ce que j’imitais scrupuleusement.

 

Vers seize ans, je me masturbais régulièrement, à tous les jours.

Il faut dire que mes séances de masturbation duraient assez longtemps, presque une heure.

 

J’avais aussi un avantage par rapport à d’autres garçons. En effet, contrairement à certains de mes camarades (j’avais eu l’occasion de comparer à plusieurs reprises), j’avais la possibilité de rester en érection après un orgasme,  ce que j’entretenais par des caresses légères sur les testicules, le périnée et la base de ma verge. Puis, une fois ma respiration calmée, je me masturbais à nouveau, de plus en plus vite.

 

J’avais remarqué que ma verge était alors devenue plus dure, plus raide...



À partir de la seconde fois. Allongé sur le dos, elle pointait vers le plafond comme un os, avec presque l’impossibilité de la faire bouger vers le bas...




Mon plaisir était généralement plus intense pour les jouissances suivantes, et aussi plus long...

 

Quand le plaisir survenait, j’enlevais mes doigts pour laisser mon pénis palpiter tout seul...


Laissant bientôt fuser les jets blancs qui retombaient un peu partout sur moi et le lit…

 

C’est ainsi que pendant plusieurs années, jusqu’à ma première liaison féminine, je pouvais jouir cinq ou six fois de suite, avec des éjaculations de moins en moins abondantes...



Si les premières jouissances... fusaient loin sur mon torse, et même mon visage, les dernières ne laissaient perler qu’une goutte translucide.

 

Quelquefois je persévérais jusqu’à jouir «  à sec », me laissant le souvenir d’une ultime jouissance brûlante mais profonde. Je m’arrêtais alors à ce moment-là, épuisé, souvent en sueur,  mais comblé par ma pratique solitaire. Je m’endormais rapidement, une fois les traces de mes jouissances enlevées, et elles étaient nombreuses !

 

Je n’ai su que très récemment que ma mère et mon père avaient assisté plusieurs fois à mes séances de masturbation, par la porte entrebaîllée ( Je ne devais pas être discret !), mais n’avaient rien dit…

 

Cia à tous,

Par LoveurBoy - Publié dans : Masturbation Lui
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Lundi 9 février 1 09 /02 /Fév 22:18

C’est arrivé il y a environ une semaine…


Lundi matin. Je m’installe dans un siège seul dans le train. Nous sommes une dizaine dans le wagon. Je le vois… Un homme très beau et sexy. Il est tout près de moi. On s’échange des regards. Il est avec des amis. Il me vient une drôle de sensation dans le corps. Je mouille ma culotte. Il n’arrête pas de me regarder du coin de l’oeil. On s’échange des sourires. Une demie heure plus tard, je descends du train. Il me suit du regard tout le long que je sors du train…


Mardi matin. Je m’installe dans le même siège qu’hier en espérant qu’il soit là… 5 minutes avant le départ du train, il monte à bord. Il me passe un frisson juste à le voir. Il est encore avec des amis. Il est de plus en plus beau. Ce n’est pas long qu’il me vient des idées cochonnes en tête, je mouille encore ma culotte. Je suis en robe aujourd’hui. J’espérais qu’il n’y ait pas beaucoup de monde dans le wagon pour que je puisse me caresser la chatte. Je suis très gênée mais la tentation est trop forte. Je glisse lentement ma main sur ma culotte en regardant autour pour voir si personne ne me voit...


Wow, ma culotte est vraiment très mouillé. Il me passe un grand frisson. Je ne vais pas plus loin, je suis trop nerveuse. Je me caresse à travers ma culotte en le regardant. Il me sourie sans cesse, comme si il savait ce que je faisais.

Une demie heure plus tard, je descends…


Mercredi matin. Aujourd’hui je ne mets pas de petite culotte, je l’emporte dans mon sac.



Je m’installe toujours à la même place. Ma chatte est déjà très humide et chaude. Il monte dans le train, mais là il est seul. Il s’installe sur le siège à côté de moi. Zut, je ne pourrai rien faire cette fois-ci. Il me sourie agréablement et met sa tête par en arrière. Il a l’air fatigué. Après 10 minutes, il a l’air endormi. Je tente ma chance. Je glisse très lentement ma main en direction de ma chatte. Hummm, elle est chaude et humide. Je commence à caresser mon clito. Je joue avec, je l’étire, c’est bon. Je commence à glisser un doigt à l’intérieur de ma chatte...


C’est bon. Je fais tout ça en le regardant. Ça m’excite tellement.

Oups, il se réveille. Je retire en vitesse ma main de ma chatte humide. Je sors un papier mouchoir pour m’essuyer mon doigt. Je jette un regard discret sur son pantalon. Je crois bien qu’il est en érection. Est-ce qu’il a fait semblant de dormir… il qu’il m’a vu faire? Je suis rouge comme une tomate. Il me sourie encore et je descend du train et il me dit: ” À demain. ” avec un petit clin d’oeil…


Jeudi matin. Même chose que les autres journées. Même siège que toute la semaine. Il monte. Il est encore seul. Il vient encore s’asseoir sur le siège à côté de moi. Je suis encore en robe, sans petite culotte. Nous sommes une quinzaine dans le wagon. Il regarde à l’extérieur par la fenêtre du train. J’en profite pour glisser ma main sur ma chatte encore chaude et très très très humide. Je me caresse vigoureusement. J’entre un doigt dans mon vagin, ensuite deux, trois, je jouie doucement pour que personne ne m’entende. Il continue de regarder par la fenêtre. Peut-être que je ne l’intéresse pas du tout.

Je regarde en direction de son pénis en me caressant. Mon Dieu, il est en érection. Je pousse un petit cri de sursaut. Il se tourne vers moi. Je retire ma main en vitesse de ma chatte. C’est là qu’il me dit: “Tu peux continuer, je te voyais te caresser dans le reflet de la fenêtre. ” Je suis toute rouge et extrêmement gènée. Il glisse sa main vers son pénis et se caresse à travers son pantalon.


Il sort son pénis. Wow… Il est magnifique. Il commence à se masturber. Je lève ma robe pour lui faire voir ma chatte rasée et très mouillée. Je vois qu’il aime ça. J’aime ça aussi. Je glisse un doigt dans mon vagin. Un très gros frisson me passe dans le corps au complet. On se masturbe tout les deux en se regardant faire...


C’est très bon et excitant. Je pousse de petits cris de jouissance. Il a l’air d’aimer ça… le fait de me voir jouir. Il se penche un peu par en avant sur son siège. Oh mon Dieu, il jouit et vient sur le dossier du siège d’en avant…Wow, ça m’excite, j’ai rarement vu  des giclées de spermes aussi puissantes.


Je regarde son sperme en me léchant les lèvres… je jouis et je viens aussi. Je me suis déjà masturbée dans ma vie, mais je n’ai jamais réussi à me faire venir de façon aussi violente. J’adore cette sensation. Je retire mes doigts de ma chatte. Je les essuie avec un papier mouchoir. Il me regarde, son pénis entre les doigts, et me demande un papier mouchoir. Il ne me reste que celui là. Je lui dis que j’en ai plus. Il me demande celui que j’ai utilisé pour essuyer mes doigts. Je lui donne. Il le prend et le porte à son nez pour le sentir. Son pénis est redevenu tout de suite en érection. Moi ma chatte coule à nouveau. Il s’essuie le pénis avec le papier mouchoir en question. Il rentre son pénis dans son pantalon. Je remets ma jupe en place et je dois quitter le train car je suis rendu à destination. En sortant du train je lui dis : “À demain mon beau. ” Il sourie et me dit :”À demain trésor”. Ce n’est pas mon style de dire ça à un gars que je ne connais même pas. Je suis tellement timide…


Vendredi matin. Toujours assise dans le même wagon, il monte dans le train. Il n’y a presque personne à bord. Il vient s’asseoir à côté de moi, sur le même siège. Le train démarre. Il glisse sa main sur ma cuisse. J’ai la chatte déjà très humide. Il m’embrasse dans le cou. Il remonte sa main vers ma chatte chaude et liquéfiée. Je n’ai pas de petite culotte encore. Il commence à bander, je le vois à travers son pantalon. Il me caresse la chatte. Il monte vers mon clito. Hummm j’aime ça. Mon clito est dur. Je suis trop timide pour faire quelque chose. Il prend ma main et la met sur son pantalon à l’endroit de son pénis. Il a une très grosse érection. Il met son autre main sur ma poitrine en dessous de ma robe. Il détache mon soutien-gorge. Il me caresse les seins en même temps qu’il joue avec mon clito. Je commence à y prendre goût.


Je descends son zipper de pantalon. Je sors sa belle queue. Il est humide sur le bout. Il a l’air d’aimer ça tout comme moi. Il se met à genou devant moi. Il remonte ma robe. Il me lèche l’intérieur des cuisses. Ohhhhhhhhhh, je frissonne. Une femme qui est assise 4 ou 5 sièges plus en avant de nous se retourne pour regarder derrière elle. Je ne sais pas si elle soupçonne quelque chose, mais ça ne me dérange pas du tout. C’est trop bon pour tout arrêter. Elle se retourne en avant. Je commence à me caresser les seins. Il glisse sa langue dans ma chatte. C’est tellement bon que je pousse un petit cri de jouissance. Il pénètre un doigt dans mon vagin, ensuite deux, trois et quatre...


Je ne sais pas ce qui se passe à ce moment là, mais je perds la tête. J’enlève ma robe.

Je suis complètement nue devant un inconnu. Il se r’assoie à côté de moi. Je me penche vers son sexe. Je le prends dans ma main. Je fais un mouvement de va-et-vient avec son pénis. Il est dur comme le roc. Ça me fait de l’effet. Je ne sais pas si j’ose ou pas, allez, j’ose. Je sors ma langue et je commence à lécher le gland de son pénis. Hummm… Ça goûte bon. Je parcours la hampe de son sexe tendu. Il adore ça à ce que je vois. J’introduis son pénis dans ma bouche. Je crois qu’il a eu un petit frisson à son tour. Je me caresse en même temps. C’est tellement bon. Il me caresse les cheveux, il descend sur mon dos, et fini par me caresser les fesses. Après une couple de minutes, il me relève la tête et me dis d’attendre un peu ou sinon il va venir… je m’installe dans le fond du siège, collé sur la fenêtre, je me caresse les seins en me passant un doigt. Il enlève sa chemise. Il enlève son pantalon et son slip. Wow, on voit vraiment qu’il aime ça juste par la dureté de son sexe. Nous sommes nus. Il me couche sur le dos. Je sais très bien ce qu’il va se passer…, ça va être ma première fois que je le fais dans un endroit public… avec un inconnu…


Il se penche vers moi. Se couche sur moi. Et introduit son pénis dans mon vagin encore tout chaud et humide...


C’est très bon. Il m’embrasse les seins. Je jouiiiiiiiiie tellement c’est merveilleux. Il fait un mouvement de va-et-vient. On pourrait se faire surprendre à tout moment, mais c’est le dernier de mes soucis. Je fais enfin l’amour. Il me dit:” Mets toi à quatre pattes. “. Mais je lui dis:” Je ne veux pas le faire dans l’anus s. v. p. ” J’avais trop peur que ça fasse mal. Il me dis:” Ne t’en fait pas, si tu ne veux pas, ce n’est pas grave. Met toi à quatre pattes quand même ma belle. ”

Je me met à quatre pattes. Si les gens se retourneraient en arrière, ils auraient un beau spectacle. Mais ça ne nous dérange pas du tout. On baise comme si on était seul à bord du train. Il se met à genou derrière moi. Il se penche vers mon cul. Il commence à me lécher l’anus...


Je jouie et je viens. Il s’en rend compte et se penche vers ma chatte pour lécher le liquide. Hummm c’est excitant. Il retourne à ma rosette brunâtre et continue à me lécher.

J’adore ça. Je me caresse la chatte en même temps. Il se remet à genou derrière moi… il dirige son pénis vers ma chatte. Il me pénètre...






C’est plus fort que moi, je pousse un grand cri de jouissance. Les gens se retournent pour voir, mais on continue. C’est trop bon.


Une couple de minutes passe. Il se retire et me dis:”Couche-toi sur le dos trésor. ” Je me couche sur le dos, les jambes écartés...


Il se masturbe. Je me caresse les seins. Je crois qu’il va venir. Il jouit et me vient dessus le ventre et la chatte. Son sperme est chaud. Je n’avais jamais reçu une telle ondée de sperme avant. Je me penche vers lui et je mets son pénis dans ma bouche. Il a encore du sperme qui y sort.

J’adore le goût du sperme. Je lui fais une pipe. Il adore ça. Il vient à nouveau. Je reçois ça dans la bouche...


J’avale tout. J’adore ça. Là on se rhabille. Je remets ma robe, pas de culotte ni soutien-gorge. Lui il remet son slip, pantalon et sa chemise. Le train arrête. Je suis rendu à destination. Avant que je descend du train il me regarde et me dis:” À lundi. ” Je lui dis:” Oui, à lundi. ” Je descend du train…


Samedi matin. Pas de train car pas de boulot. Mais ça ne veut pas dire pas de sexe. Oh non. Je pense à lui. Ma chatte est mouillée. Je me masturbe en pensant à lui pendant près de 2 heures de temps. C’est meilleur de se masturber en imaginant cet inconnu… si désirable…


Inconnue... anonyme  (*_*)

Par LoveurBoy - Publié dans : Nouvelles Érotiques
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