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Jeudi 12 février 4 12 /02 /Fév 01:02

A lire certains articles, on pourrait penser que les hommes, en général, ne peuvent avoir qu’un seul orgasme. Cela n’a pas été mon cas, et ce depuis ma plus petite enfance. Voilà ce dont je me souviens :

 

Les plaisirs de l’onanisme remontent dans mon souvenir à mon enfance, bien avant de pouvoir « juter » comme les grands. Debout ou allongé dans mon lit, le soir, je me donnais de, longues séances de masturbation, attendant avec impatience le jour où de mon pénis tendu jaillira la semence virile.

 

Puis, un jour, tout changea. Je devais avoir 13 ans quand enfin un peu de semence perla au bout de mon gland violacé...


J’étais aux anges. J’étais enfin devenu un homme ! Petit à petit, progressivement, les quantités de sperme éjaculées augmentaient, prenaient de la consistance. Mon plaisir également augmentait sans cesse. Il faut dire qu’à la maison, il y avait plusieurs livres traitant de la sexualité, de la masturbation, que ce soit masculine ou féminine. Il y avait même de nombreux croquis qui illustraient les positions à adopter, ce que j’imitais scrupuleusement.

 

Vers seize ans, je me masturbais régulièrement, à tous les jours.

Il faut dire que mes séances de masturbation duraient assez longtemps, presque une heure.

 

J’avais aussi un avantage par rapport à d’autres garçons. En effet, contrairement à certains de mes camarades (j’avais eu l’occasion de comparer à plusieurs reprises), j’avais la possibilité de rester en érection après un orgasme,  ce que j’entretenais par des caresses légères sur les testicules, le périnée et la base de ma verge. Puis, une fois ma respiration calmée, je me masturbais à nouveau, de plus en plus vite.

 

J’avais remarqué que ma verge était alors devenue plus dure, plus raide...



À partir de la seconde fois. Allongé sur le dos, elle pointait vers le plafond comme un os, avec presque l’impossibilité de la faire bouger vers le bas...




Mon plaisir était généralement plus intense pour les jouissances suivantes, et aussi plus long...

 

Quand le plaisir survenait, j’enlevais mes doigts pour laisser mon pénis palpiter tout seul...


Laissant bientôt fuser les jets blancs qui retombaient un peu partout sur moi et le lit…

 

C’est ainsi que pendant plusieurs années, jusqu’à ma première liaison féminine, je pouvais jouir cinq ou six fois de suite, avec des éjaculations de moins en moins abondantes...



Si les premières jouissances... fusaient loin sur mon torse, et même mon visage, les dernières ne laissaient perler qu’une goutte translucide.

 

Quelquefois je persévérais jusqu’à jouir «  à sec », me laissant le souvenir d’une ultime jouissance brûlante mais profonde. Je m’arrêtais alors à ce moment-là, épuisé, souvent en sueur,  mais comblé par ma pratique solitaire. Je m’endormais rapidement, une fois les traces de mes jouissances enlevées, et elles étaient nombreuses !

 

Je n’ai su que très récemment que ma mère et mon père avaient assisté plusieurs fois à mes séances de masturbation, par la porte entrebaîllée ( Je ne devais pas être discret !), mais n’avaient rien dit…

 

Cia à tous,

Par LoveurBoy - Publié dans : Masturbation Lui
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