Le blog de LoveurBoy
Je suis une mère de famille de 42 ans…
Il m'est arrivé une expérience très spéciale l'été dernier, fin juin.
Exceptionnellement j'étais allée chercher mes enfants à l'école. D'habitude, je travaille en semaine au service marketing d'une société américaine qui produit des biens de grande consommation
(des détergents, lessives). Ce jour là, une réunion devant durer toute l'après midi fut annulée au dernier moment, et je décidais de rentrer plus tôt à la maison.
Je fis un tour au super marché, faire quelques courses, et retrouvais la nounou des enfants à la sortie de l'école. Ils furent évidemment ravis de me voir, et tous ensembles, nous prenions la
route de la maison. Nous passons par un joli parc, avec de multiples allées qui se croisent, ponctué de pièces d'eau et de nombreux bosquets. En cette fin de journée, l'air était chaud, et la
pluie tombée il y a une heure avait chargé l'atmosphère d'humidité et de senteurs. J'aimais cela, il faisait beau et les enfants étaient devant moi avec Nadia la nounou.
Tandis que je marchais dans une allée un peu plus sombre, une silhouette se détacha d'un bosquet, et m'appela d'un ricanement un exhibitionniste il était là devant moi, je devinais son sexe
dressé sous son pantalon en l'espace d'une seconde il de dégrafa et laissa jaillir son sexe, gonflé, violacé il laissait sortir des sons répugnants de sa bouche, lubriques "hé, hé! hé, hé" et
commençait à se masturber...
Mon coeur s'accéléra de peur et de surprise, j'accélérais le pas pour rejoindre les enfants et Nadia, loin devant. En route mon esprit s'embrouillait, je repassais la scène dans ma tête mon coeur
battait toujours aussi fort, et mon ventre restait noué. Je sentais mes mains trembler légèrement j'arrivais devant eux, près de la sortie du parc et comme guidée par une force inconnue je disais
à Nadia d'emmener les enfants à la maison, que j'avais encore une ou deux choses à acheter au supermarché
Ayant fait demi tour, je marchais sans me presser je commençais à être prise de tremblements, mes jambes étaient de coton et me portaient à peine. Le ventre en boule, totalement noué, je
m'avançais vers l'endroit où ce tenait cet homme Je n'étais pas sûr, mais j'y allais je voulais le voir et j'étais saisie d'un désir brûlant, sans savoir ce qui allait se passer
Il était là, son sexe avait un peu perdu de volume mais restait impressionnant il m'accueillit de ses mêmes "hé, hé, hé!" rapides et convulsifs ses appels étaient glauques son visage était
déformé par un tic nerveux mais il paraissait finalement presque comme un père de famille, bien habillé la raie sur le côté... Il recula et s'enfonça dans les bois, je le suivais, j'étais muette
et je respirais à peine, par intermittence... Il prit son sexe à pleine main et commença à se masturber franchement. J'étais submergé de désir, le bas ventre en feu, je me sentais mouiller
abondamment. Que voulait-il? J'étais prise de pulsion me faire prendre, là? J'étais tentée mais je me l'interdis bien évidemment. Je ne pouvais pas faire ça à Jean et je n'avais de toute façon
pas de capote. Sentir du sperme inconnu se déverser en moi cette idée me fit chavirer.
Je le voyais malaxer ses bourses, je voyais de l'écume sur son gland massif, violacé.
Soudain je remontais ma jupe et de la main gauche j'écartais ma petite culotte. Violemment. De ma main droite, je pétrissais ma vulves, mes doigts tremblaient totalement, leurs mouvements
devenaient imprécis ils trouvaient mes grandes lèvres et les écartaient...
Je les fis plonger en moi, remonter ma mouille vers mon clitoris que je massais de façon irrégulière, erratique, j'étais presque en apnée il me regardait me caresser, m'offrir à ses yeux mon
regard commencer à rouler, ma main droite caressait frénétiquement mon sexe qui dégoulinait de désir je sentis une déflagration en moi et poussait un cri rauque jamais je n'avais connu pareil
orgasme...
Ce fut pour lui libératoire et il éjacula devant moi en de nombreux et puissants jets...
Je n'avais jamais vu cela. Jean mon mari est le seul homme que j'ai connu. C'était la première fois que je voyais quelqu'un d'autre jouir J'étais là, hagarde, à le regarder jouir, à ne rien
perdre de ce liquide que je voyais s'écouler et tomber dans l'herbe
Je fis descendre ma jupe, et je m'éloignais rapidement, pressant le pas. Je courrais presque un peu paniquée. De peur qu'il veuille me rattraper Une fois sortie du parc, ma tête tournait de ce
que j'avais vu, j'étais encore étourdie par cet orgasme si explosif, si fort, j'étais traumatisée parce que je venais de faire si inattendu pour moi, moi qui n'ais jamais eu de libido
extravagante, donnant le minimum à mon mari.
Moi la mère de famille catho que venais-je de faire. Je reste encore profondément troublée par cette expérience. Troublée par le tabou brisé, troublé par ce plaisir 100 fois plus intense que ce
que Jean pourrait me donner. Troublée par l'envie de recommencer, même si je me l'interdis. Le désir reste là... et je ne puis m'en défaire...